DiSSS : Multipliez par 10 votre vitesse d’acquisition du chinois et du japonais (2eme partie)

Afin d’encadrer et d’accélérer au mieux votre apprentissage du chinois ou du japonais, la semaine dernière, nous avons posé les bases du DiSSS avec son cadre novateur. Aujourd’hui, nous poursuivons ce passionnant voyage vers l’autonomie linguistique en explorant la deuxième partie du concept DiSSS. Si vous êtes enthousiaste à l’idée d’apprendre rapidement et ouvert aux méthodes audacieuses et éprouvées, alors vous êtes au bon endroit. En seulement 6 à 12 mois, imaginez-vous capable de converser aisément dans l’une de ces langues. Tout cela devient réalité grâce à une organisation innovante, remettant en question toutes les idées préconçues sur l’apprentissage du chinois ou du japonais.

Les règles d’écriture

En ce qui concerne l’écriture des caractères chinois et des kanjis japonais, vous devez faire un choix. Oui, un seul choix :

-Soit vous mémorisez l’ordre précis de chaque trait pour chaque caractère. Et si l’on calcule le nombre moyen de caractères courants, multiplié par le nombre de radicaux, le tout multiplié par le nombre de traits de base, cela nous donne entre 3 656 800 et 5 136 000 informations à retenir (à la louche).

-Soit, vous utilisez les principes de base de la calligraphie (moins de 10) qui guident la formation générale de tous les caractères. Ces règles permettent de structurer l’écriture en réduisant la charge mentale. En résumé, on apprend 9 principes, et c’est bouclé !

Je vous laisse 5 secondes pour faire votre choix 😊

Dans le cas, totalement inattendu, où vous auriez choisi l’option 2, voici les règles :

Un coup de pouce : la mnémotechnie

En réalité, les clés et les blocs dont nous avons parlé précédemment sont déjà de la mnémotechnie, d’une certaine manière. Et pour les rendre encore plus performantes, nous allons associer plusieurs techniques entre elles ! Voyons donc la technique de « l’association d’image à une histoire ».

L’association d’image à une histoire

Prenons par exemple le caractère 愛 en japonais et 爱 en chinois, qui signifient tous deux « amour ». [Parenthèse historique : les deux caractères se ressemblent puisqu’au IVe siècle, les sinogrammes ont été empruntés aux Chinois par les Japonais car jusqu’alors le japonais était seulement une langue parlée. Cependant, entre les années 1940 et 70, les deux pays ont effectué des réformes de simplification des caractères. Résultat : les deux écritures se sont éloignées. Les caractères traditionnels complets ne sont utilisés que encore à Taiwan et Hong Kong au moment où j’écris ces lignes.]

Pour simplifier, je vais prendre le caractère traditionnel dans l’exemple. Observons sa forme : Le caractère 愛 a plusieurs composants : 爫 (zhǎo) la griffe (1), 冖 (mì) la couverture (2), 心 (xīn) le cœur (3) et 夂 (suī) aller lentement (4). Pour retenir tous ces éléments et sa signification, on pourrait imaginer « une griffe » (1) qui veut passer à travers une « couverture » (2) pour atteindre un « cœur » (3) qui s’enfuit « en allant lentement » (4) — « Ah, c’est l’amour qui s’envole ! » (Ils avaient compris des choses, les Chinois quand même…)

En fin de compte, cette petite histoire visuelle rend la mémorisation beaucoup plus amusante et efficace. Bien sûr, il existe de nombreuses autres façons créatives d’utiliser la mnémotechnie pour retenir les sinogrammes. L’important est de trouver une approche qui vous parle et vous permette de faire des associations amusantes et mémorables.

DiSSS = SÉLECTION : La dose efficace minimale

La loi de Pareto, aussi appelée le « principe 80/20 », dit qu’en général, environ 80 % des résultats proviennent de 20 % des causes. Cela signifie que la plupart des effets sont produits par une minorité de causes. Par exemple, dans le monde des affaires, on pourrait dire que 80 % des profits d’une entreprise proviennent de 20 % de ses clients. Il est donc plus efficace de se concentrer sur ces 20 % de clients très profitables et d’éviter de perdre trop de temps avec les clients qui rapportent moins, surtout s’ils sont source de problèmes. Ce concept montre comment une petite partie peut avoir un grand impact. On peut utiliser le même principe pour apprendre le chinois et le japonais en l’appliquant aux méthodes, manuels et exercices qui donnent le plus de résultats dans notre apprentissage.

Il faudra identifier ici :

  1. Avez-vous réduit votre matériel à la fréquence la plus élevée ? C’est-à-dire, étudiez-vous la partie du vocabulaire et de la grammaire que vous allez vraiment utiliser ?
  2. La méthode est-elle durable ? Avez-vous choisi un horaire et un sujet que vous pouvez respecter (ou au moins supporter) jusqu’à atteindre l’aisance ? Allez-vous vraiment suivre la méthode que vous vous êtes prescrite ?

Car dans le DiSSS adapté à l’apprentissage des langues, il y a un principe très important : « ce que vous apprenez est plus important que comment vous l’apprenez. »

En effet, si le sujet ne vous intéresse pas ou si vous apprenez des termes que vous n’utiliserez jamais, même avec les meilleures techniques de mémorisation du monde, vous ne parlerez pas couramment ni japonais ni chinois. Mais si vous appliquez cette règle, les bénéfices sont nombreux.

Plus d’overdose de vocabulaire

Le Grand Ricci est une référence en tant que dictionnaire chinois-français. Il couvre 13 500 caractères et contient 300 000 mots et expressions. Mais avons-nous vraiment besoin de connaître tout cela ?

Le volume le plus bas, la fréquence la plus basse, le moins de changements qui nous permettent d’obtenir le résultat souhaité, voilà ce que Tim appelle la dose efficace minimale (DEM).

C’est un peu comme prendre un médicament : si vous n’en prenez pas assez, vous n’obtenez pas d’effets (ici, vous ne parlerez pas couramment chinois ou japonais), si vous en prenez trop, vous détruirez votre corps (cela pourrait vous prendre 25 ans pour apprendre la langue). Mais si vous prenez la bonne dose, vous obtenez le meilleur ratio entre efficacité et effets secondaires (ici, les effets secondaires sont sociaux, avec une famille et un emploi à plein temps, vous n’avez pas le temps d’étudier 8 heures par jour).

Pour être fonctionnel en conversation dans n’importe quelle langue, on a en réalité besoin de seulement 1 200 à 2 000 mots. Donc ici, le DEM = 1 200 mots. Il suffit de sélectionner les mots les plus utilisés dans la langue cible. Concernant l’écriture, la logique est la même : se concentrer sur les sinogrammes les plus importants, surtout au début.

Joel Bellassen, directeur de recherche en didactique du chinois à l’Institut national des langues et civilisations orientales, a mené des recherches statistiques très pointues pour élaborer plusieurs listes, dont une de 400 caractères permettant de déchiffrer 66,27 % de l’ensemble des textes courants, car ils ont été choisis pour leur fréquence et leur capacité combinatoire.

Donc, 1200 mots et 400 caractères bien sélectionnés donnent accès à 66 % de l’utilisation pratique des 300 000 mots.

Alors, préférez-vous travailler de A à Z sur 300 000 mots pendant 25 ans, ou maîtriser cette liste de 1200 mots et 400 caractères à haute fréquence en moins de 6 mois, puis décider des prochaines étapes ? De toute évidence, on choisit la deuxième option.

Pirater la grammaire

LE POUVOIR DU TRANSFERT

Si la politique vous laisse de marbre, pensez-vous réellement apprécier un cours de langue truffé d’articles politiques ? Incontestablement non. L’ennui s’installera, et vous laisserez tomber l’affaire.

À l’époque de Tim, la majorité des auteurs de manuels de langue japonaise semblait persuadée que décortiquer l’Asahi Shimbun (un des grands quotidiens nationaux japonais) était le seul test probant pour maîtriser le japonais. Pour un lycéen, lire l’Asahi Shimbun est aussi excitant que de fixer une brique en attendant qu’elle moisisse… Et pour les adultes, la situation est similaire.

Pour la grammaire, le sujet a peu d’importance. En effet, quand vous lisez un roman sur la vie d’une actrice, le vocabulaire sera composé de nombreux termes utilisés dans le monde du cinéma. Si vous lisez un article sur un champion olympique de natation, vous retrouverez beaucoup de mots en rapport avec le sport et la natation. Et si vous lisez un livre sur l’entreprenariat, vous allez trouver que la majorité du vocabulaire est celui du business, du management du temps, etc. Cependant, même si ces trois sujets utilisent un vocabulaire différent, ils utiliseront les mêmes règles de grammaire.

Ainsi, pour Tim qui s’intéressait aux arts martiaux japonais, son élixir magique s’est avéré être les manuels de judo. Bien que le vocabulaire (voyez ça comme un ingrédient) soit très spécialisé, il avait surpassé en compétence grammaticale des étudiants japonais de quatre et cinq ans après seulement deux mois d’immersion dans les manuels de judo. Pourquoi ? Parce que la grammaire (voyez ça comme des méthodes de cuisson) était universelle. Ces principes s’appliquaient à tout, transcendant les frontières disciplinaires.

Et si vous aimez le chinois mandarin et kung-fu, l’idée est la même :

Et si vous aimez le kung-fu, c’est pareil.

Le DEM de la grammaire

Un excellent exemple de minimalisme pour la grammaire est le Cardinal Giuseppe Mezzofanti. Né en 1774, il fut l’un des plus grands polyglottes du monde. Il a été testé dans 29 langues et a été rapporté comme parlant couramment jusqu’à 72 langues. Comment s’y prenait-il ?

En 1774, il ne pouvait pas aller sur Amazon et acheter les derniers manuels de langue des destinations à la mode.

Sa qualité majeure était d’avoir un esprit très systématique.

D’abord, il regroupait les langues par familles. Par exemple : langues indo-européennes, sino-tibétaines, langues altaïques, etc. Deuxièmement, au lieu d’utiliser des livres de grammaire, il demandait à des locuteurs natifs de chaque langue de traduire un paragraphe de la « prière du Seigneur ». Ce court passage lui donnait un aperçu de presque toutes les structures grammaticales importantes (COD, COI, cas nominaux, possessifs, etc.).

Tim a utilisé une approche similaire pendant deux décennies : un condensé de 12 phrases de structures grammaticales essentielles. Cela lui permettait d’avoir une idée assez concrète du fonctionnement de la langue cible et d’estimer combien de temps il faudrait pour l’apprendre. Ce travail de déconstruction et d’analyse des structures de base peut être fait en une ou deux heures. Voici l’ensemble de phrases :

Ces phrases lui ont permis de déconstruire l’arabe, le russe, le grec, le chinois, le japonais… bref, toutes les langues que vous voulez. Bien sûr, ce sera imparfait mais très efficace.

Démarrez au kick ces 2 langues avec 4 phrases

Si vous avez suivi des cours de lycée et que, comme deuxième langue, vous avez choisi l’espagnol, je suis persuadé que vous vous rappelez des centaines de tableaux interminables qui récapitulaient les conjugaisons des verbes à tous les temps, modes, etc. Mais il y a un moyen de pallier cela :

Prenons l’exemple du verbe « manger ». En anglais, c’est plutôt simple :

• I eat

• You eat

• He/she/it eats

• We eat

• You (pluriel) eat

• They eat

On voit que la terminaison change seulement pour He/she/it, mais pour le reste, le verbe ne change pas.

Regardons en italien ce que cela donne :

• Io mangio

• Tu mangi

• Lui/lei mangia

• Noi mangiamo

• Voi mangiate

• Loro mangiano

On peut voir que la conjugaison affecte le verbe pour toutes les personnes et c’est autant d’informations à retenir.

Donc, quand on commence à réaliser qu’on va devoir apprendre toutes les terminaisons pour tous les verbes de la langue cible (car « manger » n’est qu’un seul misérable verbe parmi des milliers !), tout à coup, cela devient une montagne infranchissable.

La vérité, c’est que la plupart des gens ne sont pas « nuls » en langues. Ils sont nuls à force de se farcir des listes de conjugaisons ennuyeuses, aussi passionnantes que de remplir des formulaires au bureau des permis de conduire.

À la place, on peut utiliser l’approche de Michel Thomas, qui était un survivant de l’Holocauste et officier du renseignement pendant la Seconde Guerre mondiale. Il était très connu pour apprendre n’importe quelle langue très rapidement et l’enseigner très facilement. La façon dont il enseignait à ses propres étudiants était d’utiliser des structures qui permettaient d’éviter de conjuguer les verbes.

C’est là que les verbes auxiliaires entrent en jeu.

En apprenant par cœur quelques verbes dans différentes conjugaisons, on obtient un passe-partout pour tous les verbes. Et apprendre la conjugaison de 5 ou 8 verbes, c’est jouable en une seule après-midi.

Comment ça marche concrètement ? Il suffit de mémoriser les conjugaisons de quelques verbes — avoir, vouloir, avoir besoin, etc. — et de coller l’infinitif immédiatement derrière (je veux manger, je vais lire, j’ai besoin de boire de l’eau, etc.).

Une fois que vous maîtrisez les verbes auxiliaires dans la langue que vous voulez apprendre, ainsi que les incontournables « to be », « to have », « to do » et « to go », vous vous rendez compte que vous pouvez exprimer n’importe quelle idée en un claquement de doigts.

Vous aurez sans doute remarqué la traduction bizarre en dessous des sinogrammes et des kanjis, il s’agit de la traduction mot à mot des caractères. C’est la méthode qu’utilise la marque de manuels de langue « Assimil ». Cela sert notamment à commencer à penser dans la langue, ou du moins avec les mots dans l’ordre de la langue cible.

DiSSS = SÉQUENÇAGE : LA MAGIE D’UNE ORGANISATION ADÉQUATE

D’une certaine manière, on pourrait dire que le séquençage, c’est la sauce secrète. L’idée c’est d’avoir une progression bien conçue qui permette d’optimiser l’efficacité de l’apprentissage. Un système où chaque exercice s’appuie sur le précédent, et où les points de défaillance sont évités sans stress.

C’est cette idée que j’avais évoquée dans le premier article sur le concept du DiSSS : « -Quels sont les blocs de lego que je devrais commencer avec ? »

 Dans son livre, Tim n’a pas approfondi plus l’étape du séquençage concernant l’apprentissage des langues étrangères. Nous n’avons pas plus d’éléments que ça.

Mais comme j’en avais parlé dans mon défi de cette année, c’est justement une des raisons qui m’a poussé à le faire : trouver la bonne synergie entre les éléments dans le processus d’apprentissage. Dans les prochains articles, nous traiterons de ce sujet.

DiSSS = STAKES : Conséquences

Quelle que soit la qualité d’un plan, la profondeur d’un livre ou la sincérité de nos intentions, nous, les êtres humains, sommes souvent terribles en matière d’autodiscipline. Personne n’est à l’abri de cela, même les personnes les plus intelligentes, les plus riches et les plus dévouées abandonnent leurs engagements de manière désolante et régulière. Mais comment faire en sorte que votre décision soit inébranlable et résistante à toutes les tentations ?

Le centre des sciences sociales expérimentales à l’Université de New York nous indique que : la peur de la perte est plus forte que la joie de gagner.

Dites-moi : travailleriez-vous plus dur pour gagner 100 euros ou éviter de perdre 100 euros?

Les optimistes me diront pour les gagner, sauf que… les recherches semblent montrer le contraire. Du coup, certains ont créé des sites internet sur lesquels vous créez un compte et exposez votre projet, comme par exemple apprendre 800 mots en 5 mois ou nager 5 kilomètres, etc. Arrivé à terme de votre challenge, si vous ne parvenez pas à atteindre votre engagement, le site peut au choix :

• faire parvenir un message à tous vos amis pour vous exposer à des moqueries et être la risée de votre groupe jusqu’à la nuit des temps. (La pression des pairs bien utilisée !)

• ou vous pouvez vous faire un dépôt d’argent au préalable qui sera automatiquement viré sur le compte d’une organisation que vous méprisez tellement que vous préférez vous cogner la tête contre le pare-choc d’une camionnette plutôt que de faire un don pour eux.

Pour résumer : Simplifier

Lorsque vous cherchez une solution, il est essentiel de commencer par éliminer plutôt que d’ajouter. C’est un principe très important : « moins, c’est parfois un plus ».

Si l’on examine l’étymologie du verbe « décision », il est lié à « incision », qui signifie couper, séparer des autres options, s’engager et se focaliser.

Comme le disait Bruce Lee : « la simplification est l’ultime raffinement ».

Il est souvent tentant de compliquer les choses, de chercher des solutions sophistiquées ou d’accumuler des informations, mais en réalité, la véritable efficacité réside dans la simplicité.

Lorsque vous prenez une décision, prenez le temps de vous demander : « Est-ce que cela ajoute de la valeur ? Est-ce que cela contribue à la simplicité et à la clarté ? » En gardant cette approche à l’esprit, vous serez en mesure de faire des choix plus éclairés et de progresser vers vos objectifs de manière plus efficace.

La simplicité n’est pas synonyme de facilité. Cela demande souvent de la réflexion, telle que l’élimination des éléments superflus et l’identification des aspects essentiels. Mais en simplifiant, vous créez de la clarté, de la légèreté et de la facilité d’action.

Voilà, nous avons posé les bases du concept DiSSS qui seront les fondations sur lesquelles je vais m’appuyer pour le défi de cette année. À lui seul, ce système est déjà redoutablement efficace pour apprendre une langue étrangère et j’aurais voulu le connaître quand j’ai commencé. Cependant, au fil des prochaines recherches, je tenterai de l’enrichir pour le rendre plus spécifique au chinois et au japonais. En attendant, je vais le tester et vous donner les retours sur ce blog.

En revanche, la « mécanique de la langue » c’est une chose, mais une traduction littérale ou une mauvaise connaissance des mœurs peut vous éviter des quiproquos et beaucoup de mésaventures. Ainsi, savoir exprimer la bonne idée peut faire toute la différence. Ça, c’est la connaissance de la culture et de l’esprit de ses habitants. Nous allons aborder cela dans les prochains articles.

Comme vous le savez, vous pouvez faire partie de l’aventure et tester avec moi, partager vos retours d’expérience, me proposer des méthodes pour que je les essaie et vous fasse un retour, ou même des sujets sur lesquels vous aimeriez en savoir plus. Pour cela, rien de plus simple, écrivez-moi en commentaire des articles de ce blog et je me ferai un plaisir de faire le nécessaire.

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About the author

Passez de zéro à héro en chinois ! Avec les nouvelles techniques des neurosciences et mon expérience de professeur de chinois, je serais honoré de vous donner tout ce qu'il faut pour surmonter les obstacles que vous traversez dans votre apprentissage de la langue chinoise.

Titulaire d'un master de chinois, entré dans le MBA de l'université du Jiangsu, vécu plus de 10 ans en Chine (arrivé 2009), directeur d'une société d'import export à Shanghai, acteur dans des séries et long métrage chinois, j'ai éprouvé mon mandarin et développé une expertise de la langue. Mon système est là pour aider les apprenants à atteindre leurs objectifs.
Que vous souhaitiez vous initier aux chinois mandarin, vous perfectionner, passer le diplôme du HSK, entrer dans une université ou trouver du travail en Chine, mieux communiquer avec vos clients chinois... je suis là pour vous accompagner.

Comments

  1. Merci pour cet article très intéressant ! Tes astuces sont vraiment pertinentes, j’adore ! L’apprentissage du chinois me paraissait impossible jusqu’à maintenant mais ton blog est en train de me faire changer d’avis.

  2. Merci pour cet article qui me donne des idées pour mon apprentissage du néerlandais. Je pensais que je devais en faire plus (plus de vocabulaire, plus de grammaire, etc.) mais comme tu le dis dans ton article, il faut se focaliser sur l’essentiel et simplifier. On a tendance à l’oublier quand on veut progresser. Alors merci pour ce rappel plus qu’utile ! Ton article m’a aussi donné envie de me mettre aux langues asiatiques ! 😊 Peut-être un prochain défi 😉

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